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Prélude

" La beauté du prélude, chez les plus grands auteurs, (Fauré, Debussy) est que justement, il ne prélude à rien, se suffit à lui même c'est une forme brève, qui ne s'impose pas à l'oreille, mais propose ses finesses, ses hésitations, ses nuances, inépuisablement..." STEPHANE AUDEGUY. Extr. "Préludes" in "Petit éloge de la douceur". Editions Gallimard 2007 De retour du "charmé",...

Publié le 17/03/2009 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Saint-Saëns, l'ingénieux lyrique

Les courtes et sombres journées de novembre sont pour moi propices à l’écoute des concertos pour piano de Saint-Saëns. Mon goût pour ce compositeur laisse parfois perplexes certains de mes amis musiciens. Je me promène dans son œuvre depuis très longtemps. Enfant, j’avais fait main basse sur de vieux vinyles appartenant à mon grand-père. L’évocation des squelettes s’entrechoquant dans la...

Publié le 20/11/2008 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Je ne sais pas... je suis perdu aussi

Un spectateur d’opéra des années 1930, voire des années 1950, serait très étonné en s’apercevant qu’aujourd’hui comprendre parfaitement tous les interprètes d’une œuvre en français est une chose si rare qu’elle en devient notable quand elle se produit.C’est ce qui s’est passé pour Pelléas et Mélisande , donné jusqu’à très récemment au théâtre de la Monnaie à Bruxelles. Toute la distribution,...

Publié le 24/09/2008 dans L'esprit de... par Philippe | Lire la suite...

L’immaculée fatale.

« A chaque fois que je vais à l’opéra , disait Ingmar Bergman, ce que j’entends est déçu par ce que je vois. » En sortant, l’autre soir, d’une représentation de Pelléas et Mélisande mis en scène par Bob Wilson, je me suis dit qu’il y avait de ça. La lumière bleue, les traits blancs qui passent, le carré rouge, l’espace quadrillé comme un tableau de Mondrian, bon... Les corps qui ne se...

Publié le 04/04/2005 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

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