Last posts on clinique2024-03-19T14:34:19+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/clinique/atom.xmlAvignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlQue devèn l'anciano clinico di Celestin ?tag:avignon.hautetfort.com,2020-05-28:62343062020-05-28T00:00:00+02:002020-05-28T00:00:00+02:00 Que devient l'ancienne clinique des Célestins ? What becomes of the old...
<p>Que devient l'ancienne clinique des Célestins ?<br /><em>What becomes of the old Célestins clinic ?</em></p><table style="border-collapse: collapse;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><td style="vertical-align: top;"><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/3803126428.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img style="margin: 0px 10px 10px 0px; float: right;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/01/1335376946.jpg" alt="1335376946.jpg" /></a><br /><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/01/01/703842617.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img style="margin: 0px 10px 0px 0px; float: right;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/01/3924768646.jpg" alt="3924768646.jpg" /></a></td><td><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/4096392402.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img style="margin: 0px 0px 10px;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/01/3739932227.jpg" alt="3739932227.jpg" /></a><br /><a href="http://avignon.hautetfort.com/media/00/02/3634723820.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img style="float: left;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/01/531056495.jpg" alt="531056495.jpg" /></a></td></tr></tbody></table><p style="text-align: justify;">L'ancienne clinique "des Célestins" située au 100 avenue de Tarascon était une magnifique bâtisse de maître accordée par une passerelle aérienne à un bâtiment plus récent.<br />Cette clinique, fermée dans les années 90, devint une résidence pour séniors de 94 logements en 2009. Un incendie la ravagea en 2014. En 2019 elle était un squat dont se plaignaient les riverains.<br />La SCI "Les Célestins" qui détient le terrain et les bâtiments (~8800 m²) est en conflit avec deux acquéreurs en liquidation judiciaire ayant tous deux fait faillite. Elle demanderait toujours l'argent de la vente à ces deux sociétés. <a href="https://www.doctrine.fr/d/CA/Nimes/2018/C0083B555776AC3C9D220" target="_blank" rel="noopener">Voici l'arrêt rendu par le tribunal de grande instance de Nîmes du 20 décembre 2018</a>.<br /><em>Source : Le Dauphiné Libéré 21.03.2014. <strong>Merci à Bruno L.</strong></em></p>
Pournyhttp://michelpourny.hautetfort.com/about.htmlUne belle histoire pour commencer l'annéetag:michelpourny.hautetfort.com,2020-01-01:62020842020-01-01T17:06:00+01:002020-01-01T17:06:00+01:00 C linique de rééducation fonctionnelle et balnéothérapie....
<p> </p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: 12pt;"> <span style="font-size: 18pt;">C</span>linique de rééducation fonctionnelle et balnéothérapie. Repas de midi. D’un bout de la salle à l’autre il interpelle ses copains. Suivent de grosses blagues oiseuses, certaines à la limite du supportable, surtout pour les patients qui souhaitaient se restaurer dans le calme. Les maux dont souffrent les gens sont graves, handicapants, la rééducation est laborieuse, douloureuse et pire : souvent sans l’espoir de reprendre un jour une vie normale, pouvoir se déplacer sur deux jambes, se nourrir sans l’aide de personne, bref pour beaucoup ici, manger tranquille n’est pas un luxe. Par son attitude, il mobilise une ou deux serveuses, et se mettant à table, donne à haute voix son avis sur tout et sur rien. Les conversations entamées s’interrompent, certains qui savent au mot près ce qu’il va dire baissent la tête et se concentrent sur leurs assiettes, d’autres, nouveaux, s’étonnent de rencontrer en ce lieu un homme aussi facétieux et vont même jusqu’à esquisser des sourires complices ou compatissants.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Il m’intrigue. A mieux observer, je me rends compte qu’il fait partie d’un groupe de joyeux lurons dont il est devenu le souffre douleur. Deux ou trois de ces hommes ne ratent pas une occasion de le mettre en boîte et même de le ridiculiser en public. Et lui, au lieu de prendre ses distances, persiste à s’installer à leur table, pas trop loin, comme s’il ne pouvait se détacher de ces individus moqueurs et méchants.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Je veux en savoir plus sur lui, je sais où aller, au coin « fumeurs » à l’entrée de l’établissement. Etonné de l’entendre parler calmement, j’apprends que l’amputation de sa jambe a été le dernier recours de la médecine après les dégâts causés par une vie dissolue, sous l’emprise du tabac et de l’alcool. J’apprends aussi, car il semble s’habituer à ma compagnie, qu’il a fait sept ans de prison en plusieurs fois, mais l’information s’arrête là, je ne suis pas allé plus loin dans les questions.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Je ne connais pas son nom mais ici on l’appelle Claudio. Contrairement à d’autres qui se foutent de tout et des soins qui doivent pourtant leur être prodigués, un ou deux se rendent même en ville le soir et se saoulent à la bière, on les entend aussi parler de l’incompétence des kinés…bref! Ce n'est pas son cas. Il </span><span style="font-size: 12pt;">semble suivre sérieusement son traitement même si les commentaires qu’il en fait entre deux cigarettes ne sont pas toujours raisonnables.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Voilà.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Et puis un jour, un des habitués du coin fumeurs prévient qu’il va mieux et qu’il part le lendemain. Retraité de l’enseignement et animateur d’un théâtre ouvert à tous et à ses anciens élèves, c’est une personne dont la compagnie est toujours agréable, toujours prête à prendre les choses du bon côté, à rire de tout. Son départ est une perte pour nous tous.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Claudio me prend à part, il me dit qu’il prépare une surprise. Au repas du soir, discrètement (mais c’était donc possible qu’il fût un jour discret !) il me montre une jolie carte postale. Au verso, quelques mots de lui, très gentils, adressés à celui qui nous quitte. Certes, une quantité effroyable de fautes d’orthographe, mais quelle importance quand on sait lire et que sur les lignes, entre les lignes et partout sur cet espace de quelques centimètres carrés c’est l’humanité tout entière qui parle, avec sa force et ses faiblesses, son sourire et sa peine.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Au bas de la carte, il y a les signatures des copains.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">Et ce nom que je n'oublierai pas: Claudio.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt;">§</span></p>
Louphttp://saint-nazaire.hautetfort.com/about.htmlNotes sur les familles Poussié et Thomas de Closmadeuctag:saint-nazaire.hautetfort.com,2019-04-13:61435872019-04-13T02:56:00+02:002019-04-13T02:56:00+02:00 La famille Poussié est originaire de Lozère, elle s’est illustrée à...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille Poussié est originaire de Lozère, elle s’est illustrée à Saint-Nazaire avec deux chirurgiens, et laissa son nom à une clinique située à l’angle des rues de Pornichet et François Madiot, (bâtiment actuellement muré en attente d’un avenir).</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-5978311" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/4290750274.jpg" alt="clinique, Poussié, Closmadeuc, saint-nazaire" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><em>La clinique Poussié en 1905</em></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><em> </em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">I° Antonin-Clément-Julien Poussié, (Marvejols 5 mars 1848 - Saint-Nazaire 4 juin 1923), Conservateur des Hypothèques à Saint-Nazaire, marié le 2 octobre 1876, à Saint-Flour, avec Andrée-Claire-Alix Reynard, (Clermont-Ferrand 7 août 1855- Saint-Nazaire 4 décembre 1928), d’où :</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">1° Louise-Amédée-Claire-Jeanne (Saint-Chély-d'Apcher 22 septembre 1877 – Saint-Nazaire 22 mai 1913), épouse de Marcel-Anatole Thomas de Closmadeuc, (voyez après) ;</span></p><p style="padding-left: 40px; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">2° Marc-Joseph-Raoul, qui suit.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">II° Marc-Joseph-Raoul Poussié, dit Marc-Raoul, (Châtillon-Coligny 9 octobre 1879- La Baule-Escoublac 20 mai 1947), docteur en médecine, chirurgien à Saint-Nazaire. Il passa sa médecine à Montpellier, fit deux années d’internat à l’Hôpital civil de Tunis, fit des voyages d’études en Angleterre, en Suisse, et à Vienne. Il fonda le centre de chirurgie de Saint-Nazaire en 1907, et ouvrit sa clinique en 1909, et obtint en 1911 que la Compagnie Générale Transatlantique y hospitalisa son personnel navigant, « <em>ouvrant ainsi la voie à ces moyens puissant de solidarité sociale qui montre qu’une grande compagnie se doit d’assurer le maximum de sécurité et de confort à ceux qui la servent </em>». Il soigna en sa clinique l’aventurière Marthe Richard, (celle qui ferma les maisons closes en France), après son accident d’avion survenue le 31 août 1913 à La Roche-Bernard. Réformé en 1914 pour tuberculose contractée en signant les malades des hôpitaux, il offrit, à la mobilisation, tous les lits dont il disposait en sa clinique au Service de Santé de la IIème région et reçu, au début des hostilités, un fort contingent de blessés. Une réforme de l’organisation hospitalière ordonna l’évacuation de ses blessés sur l’hôpital de complément. Il affecta dix lits en sa clinique à l’hospitalisation des blessés graves de l’hôpital auxiliaire n°6 dont il était le chirurgien chef, n’acceptant comme indemnité que la somme strictement allouée à la S.S.B.M. Maintenu reformé, il continua à l’hôpital civil dans les formations militaire de la Compagnie Générale Transatlantique, et aux Usines métallurgiques de la basse-Loire. >En décembre 1916 il contracté une fièvre typhoïde grave, par suite d’un surmenage. Récupéré en avril 1917, il eu un congé de trois mois, puis fut réformé de nouveau en décembre. Il ne pu reprendre sn travail qu’en juillet 1918. Durant sa maladie et sa convalescence, il assura à ses frais le service des miliaires blessés. Encouragé par les succès de la Compagne Générale Transatlantique, diverses compagnies de navigation sollicitèrent qu’il prennent sa clinique leurs marins, et son établissement fut cité en modèle. Le préfet lui reconnu au moment. Il obtint que la riche patientèle ne soit pas la seule à bénéficier de services de pointes, et rendit de grands services à la marine marchande et aux Nazairiens. En novembre 1927 le président de la Chambre de commerce de Saint-Nazaire, monsieur Joubert, demanda que lui soit attribué la Légion d’Honneur. Le Sous-préfet envoya au Préfet un rapport élogieux le 3 décembre 1927, aujourd’hui consultable aux Archives de Loire-Atlantique, mais il n’y eu pas de suite à cette demande. Le docteur Poussié avait épousé Alice Labourdette, (1884-1972), d’où :</span></p><p style="padding-left: 40px; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">1° Marthe Poussié, (Saint-Nazaire 14 mars 1911 – Paris 28 septembre 2004), épouse de : 1<sup>er</sup> 29 mars 1932 à Saint-Nazaire avec Pierre-Marie Blondeau, (né le 2 avril 1905 à Auch), chirurgien, divorcée le 2 décembre 1935 ; 2<sup>ème</sup> le 25 juin 1938 à Paris avec John Linton, (Paris 2 mars 1911 – Paris 20 janvier 1948), d’où postérité du second lit ;</span></p><p style="padding-left: 40px; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">2° Henry Poussié, (Saint-Nazaire 16 novembre 1914 – Saint-Nazaire 29 mars 1935) ;</span></p><p style="padding-left: 40px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">3° Louis-Raoul Poussié, (Saint-Nazaire 5 juin 1917 - La Baule-Escoublac 28 mars 1958), chirurgien, s’illustra en opérant à l’hôpital durant 48 h avec les docteurs Allaire, Jacquerod, Gentin, Avril et Jégo, les blessés du bombardement du 17 novembre 1947, qui laissa postérité.</span></p><p style="padding-left: 40px; text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille Thomas de Closmadeuc est une famille de la bourgeoisie bretonne dont la filiation remonte à l’an 1598.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Armoiries : <em>D'azur au mât de navire, gréé d’or, pavillonne d'argent ; broché d’une fasce d'argent, chargée</em> <em>de trois taus de gueules.</em></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">I° Marcel-Anatole Thomas de Closmadeuc, (La Roche-Bernard 25 mai 1874 - 10 mai 1952), pharmacien à Saint-Nazaire, fils d’Eugène-Hyacinthe Thomas de Closmadeuc, notaire à La Roche Bernard, (1832-1915), et de Marie Langloit, (1833-1926) ; marié : 1<sup>er</sup> le 10février 1903 à Clamecy avec Louise-Amédée-Claire-Jeanne (Saint-Chély-d'Apcher 22 septembre 1877 – Saint-Nazaire 22 mai 1913) ; 2<sup>ème</sup> le 12 février 1920 avec Marcelle Léonard ; d’où :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Du premier lit :</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">1° Geneviève-Andrée, (Saint-Nazaire 30 mars 1907 - Le Chambon-Feugerolles 31 mars 2007) ;</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">2° Simone-Antoinette, (Saint-Nazaire 10 août 1909 - Les Pavillons-sous-Bois 12 août 2000) ;</span></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Du second lit :</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">3° Armelle</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">4° Jean-Yves, époux de Marguerite Louboutin, d’où postérité ;</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">5° Nicole</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">6° Nicole, épouse de Roger Peyrot, d’où postérité ;</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">7° Rozenn, épouse de Roger Mandement, d’où postérité ;</span></p><p style="padding-left: 40px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">8° Soizick, épouse de 1<sup>er</sup> Jacques Guy ; 2<sup>ème</sup> Jean Fréour.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Les membres des familles Poussier et Thomas de Closmadeux sont inhumés au cimetière de La Briandais.</span></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlLa clinico dóu doutour Pamard cènt an aprèstag:avignon.hautetfort.com,2018-11-07:60989992018-11-07T00:00:00+01:002018-11-07T00:00:00+01:00 La clinique du docteur Pamard cent ans après Dr. Pamard's clinic a hundred...
<p>La clinique du docteur Pamard cent ans après<br /><em>Dr. Pamard's clinic a hundred years later</em></p><table style="width: 100%;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><td><a title="La clinico dóu doutour Pamard cènt an après" href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/02/2145620423.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="width: 337px; margin: 0 1em 0 0;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/3563107056.jpg" alt="3563107056.jpg" /></a></td><td><a title="La clinico dóu doutour Pamard cènt an après" href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/02/2145620423.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="width: 337px;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/4018912606.jpg" alt="4018912606.jpg" /></a></td></tr></tbody></table><p>Merci à Guima.</p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlLa clinico cirourgicalo dóu doutour Mountagard vuetant'an aprèstag:avignon.hautetfort.com,2018-10-21:60971062018-10-21T00:00:00+02:002018-10-21T00:00:00+02:00 La clinique chirurgicale du docteur Montagard quatre-vingts ans après Dr....
<p>La clinique chirurgicale du docteur Montagard quatre-vingts ans après<br /><em>Dr. Montagard's surgical clinic eighty years later</em></p><table style="width: 100%;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><td style="width: 50.73%;"><a title="La clinico cirourgicalo dóu doutour Mountagard vuetant'an après" href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/02/1058749040.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="width: 337px; margin: 0 1em 0 0;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/1488033351.jpg" alt="1488033351.jpg" /></a></td><td style="width: 49.26%;"><a title="La clinico cirourgicalo dóu doutour Mountagard vuetant'an après" href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/02/1058749040.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="width: 337px;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/821338643.jpg" alt="821338643.jpg" /></a></td></tr></tbody></table>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlEthiopie, paroisse de Gighessa : le presbytère, le couvent et la clinique dévastéstag:www.chemindamourverslepere.com,2016-03-03:57685972016-03-03T13:40:47+01:002016-03-03T13:40:47+01:00 Le 3 mars 2016 Mgr Abraham Desta, vicaire apostolique de Meki en...
<div class="entry-meta" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">Le 3 mars 2016</span></div><div class="entry-content"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"><em>Mgr Abraham Desta, vicaire apostolique de Meki en Ethiopie, a exprimé à l’AED son effroi après que le presbytère, le couvent et la clinique de Gighessa ont été pillés par des gens que l’Eglise avait aidés. Tout a été volé ou brûlé: vêtements, lits d’hôpital, matériels informatiques et au moins 12 000 kg de denrées alimentaires, c’est-à-dire les réserves pour l’année à venir.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"><img id="media-5309693" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/02/02/4256367733.jpg" alt="AED-Ethiopie_2aa.jpg" />Dans un rapport adressé à l’AED, Mgr Abraham Desta a décrit comment la paroisse de Gighessa – « <em>l’un des plus anciens et plus grands centres paroissiaux du vicariat de Meki</em> » – a été attaqué le 18 février « <em>par les gens pour lesquels nous travaillons et avec lesquels nous coopérons étroitement</em> ». Mgr Desta a décrit comment les villageois, « <em>y compris les jeunes et les vieux, les femmes et les enfants… ont commencé à jeter des pierres et à détruire les biens de l’Église</em> », notamment le presbytère, le centre pastoral du diocèse, un petit couvent d’Ursulines et une clinique spécialisée dans les soins aux personnes handicapées.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">Plus de 55 participants à une conférence sur l’éducation préscolaire, qui se déroulait alors dans le centre pastoral, ont été obligés de s’enfuir précipitamment pour se mettre à l’abri des assaillants. « S<em>auf <strong>les religieuses ursulines qui gèrent l’hôpital,</strong> <strong>elles sont restées sur place avec leurs patients parce qu’elles ne voulaient pas les abandonner</strong>.</em> »</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> La foule en furie a d’abord exigé la remise de tous les biens de la clinique, pour ensuite « commencer à tout détruire ou à emporter sous les yeux des religieuses, y compris des vêtements personnels. » Et l’évêque poursuit : « <em>Malheureusement, personne n’est venu en aide aux religieuses. Mais avec la grâce de Dieu, elles sont parvenues avec leurs patients à rejoindre Shashamane, la communauté la plus proche, et y ont passé la nuit.</em> »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"><img id="media-5309694" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/00/02/2066183899.jpg" alt="AED-Ethiopie_2ba.jpg" />Actuellement, les patients sont pris en charge à Shashamane.</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> « <em>Ils ont tout perdu, sauf le bien le plus précieux de la vie, que Dieu le Tout-Puissant nous offre. Et c’est triste à dire, mais tout ceci était l’œuvre des villageois auxquels les religieuses vouent leur service, qu’elles connaissent parfaitement – même s’ils ne comptaient pas tous parmi les assaillants, mais il y en avait du moins beaucoup.</em> »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"><strong>Un butin gigantesque</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">L’évêque a confirmé qu’il n’y avait pas eu de blessé. « <em>Cependant,… peu après le départ du groupe, les misérables sont revenus et ont incendié le presbytère… et le pickup Toyota et ont détruit tous les autres bâtiments… De plus, ils ont emporté tout ce qui appartenait au centre – les meubles, dont plus de 250 lits, des matelas, plus de 700 couvertures, des draps, des housses de couette, quatre ou cinq réfrigérateurs et congélateurs, des lave-linge, téléviseurs, génératrices, copieurs, ordinateurs, et même les portes et les fenêtres de la maison.</em> »</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> Ils ont laissé « <em>cet endroit dans un état de dévastation et de dépouillement total. Même dans la cuisine, ils ont tout pris</em>. »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">Le butin des assaillants comptait plus de 12 000 kg de denrées alimentaires, notamment du blé, du riz et des pâtes – soit les réserves alimentaires du centre pour toute une année.</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> Les vaches et les poules élevées dans une petite ferme non loin du centre paroissial ont également été volées.</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> L’école a été le seul bâtiment du centre à avoir été épargné par les assaillants.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"><strong>Pourquoi ?</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"><img id="media-5309695" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/00/02/2960893310.jpg" alt="AED-Ethiopie_2ca.jpg" />L’évêque a ajouté : « <em>Aujourd’hui, une question préoccupe nos cœurs et nos pensées : Pourquoi, Seigneur ? Pourquoi de cette façon ? J’espère que le Seigneur pourra nous donner une réponse en temps voulu.</em> »</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> Mais en poursuivant dans son récit, Mgr Desta a raconté comment Dieu a aussi montré qu’Il était à leurs côtés durant l’attaque.</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> « <em>Le <strong>Saint Sacrement</strong> était resté dans l’église parce que les religieux et les moniales ne sont pas parvenus à y pénétrer… Mais à notre surprise, deux jeunes filles catholiques de Gighessa ont prétendu faire partie des assaillants. Le lendemain, elles y sont allées, ont pris le Saint Sacrement et l’ont emporté dans la communauté de Shashamane.</em> » Et l’évêque de conclure : « <em><strong>À travers tous ces événements, le Seigneur nous rappelle qu’Il se tient à nos côtés jusqu’au bout</strong>.</em> »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a style="color: #008080;" href="http://www.aed-france.org/ethiopie-a-ete-vole-brulesauf-saint-sacrement/" target="_blank">Aide à l'Eglise en Détresse</a></span> (AED).</span></p></div>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlAlò hoto !tag:avignon.hautetfort.com,2015-10-09:60892322015-10-09T00:00:00+02:002015-10-09T00:00:00+02:00 Allo quoi ! Hello what !
<p>Allo quoi !<br /><em>Hello what !</em></p><p><a title="Alò hoto !" href="http://avignon.hautetfort.com/media/02/02/1223699782.jpg" target="_blank"><img src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/01/2391536003.jpg" alt="1237119806.jpg" /></a></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlSieissanto an après 24 carriero Bounetariétag:avignon.hautetfort.com,2014-08-28:60888462014-08-28T00:00:00+02:002014-08-28T00:00:00+02:00 Soixante ans après 24 rue Bonneterie Sixty years after Bonneterie street 24...
<p>Soixante ans après 24 rue Bonneterie<br /><em>Sixty years after Bonneterie street 24</em></p><table style="width: 100%;" border="0" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><td style="width: 50.73%;"><a title="Sieissanto an après 24 carriero Bounetarié" href="http://avignon.hautetfort.com/media/01/01/66827663.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="width: 337px; margin: 0 1em 0 0;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/00/585070638.jpg" alt="2120720256.jpg" /></a></td><td style="width: 49,26%;"><a title="Sieissanto an après 24 carriero Bounetarié" href="http://avignon.hautetfort.com/media/01/01/66827663.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="width: 337px;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/00/01/1187462504.jpg" alt="265484556.jpg" /></a></td></tr></tbody></table><p style="text-align: center;">Grâce au témoignage de Françoise sur <a title="Ounte sian ?" href="http://avignon.hautetfort.com/archive/2014/07/08/ounte-sian.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><em><strong>Ounte sian ?</strong></em></a> <em>Merci !</em></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlOunte sian ?tag:avignon.hautetfort.com,2014-07-08:60887822014-07-08T00:00:00+02:002014-07-08T00:00:00+02:00 Où sommes-nous ? Where are we ?
<p>Où sommes-nous ?<br /><em>Where are we ?</em></p><p><a title="La Clinico de Titéio" href="http://avignon.hautetfort.com/media/00/00/46542361.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/01/585070638.jpg" alt="2120720256.jpg" /></a></p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlLa Clinico de Titéiotag:avignon.hautetfort.com,2013-03-28:60881892013-03-28T00:00:00+01:002013-03-28T00:00:00+01:00 La Clinique de Poupées The Clinic of Dolls Rue Bonneterie.
<p>La Clinique de Poupées<br /><em>The Clinic of Dolls</em></p><p><a title="La Clinico de Titéio" href="http://avignon.hautetfort.com/media/01/02/46542361.jpg" target="_blank"><img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/01/02/585070638.jpg" alt="2120720256.jpg" /></a></p><p>Rue Bonneterie.</p>
Avignonhttp://avignon.hautetfort.com/about.htmlSetanto an après 122 carriero Carretierotag:avignon.hautetfort.com,2012-09-12:60878732012-09-12T00:00:00+02:002012-09-12T00:00:00+02:00 Soixante-dix ans après 122 rue Carreterie Seventy years after Carreterie...
<p>Soixante-dix ans après 122 rue Carreterie<br /><em>Seventy years after Carreterie street 122</em></p><p><a title="Setanto an après 122 carriero Carretiero" href="http://avignon.hautetfort.com/media/01/00/3971646348.jpg" target="_blank"><img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://avignon.hautetfort.com/media/02/00/4160502115.jpg" alt="1554314515.jpg" /></a></p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlSérie de l'été ”Photos indiennes sur le vif” - La perte de cheveuxtag:www.indiansamourai.com,2012-08-10:47979852012-08-10T08:00:00+02:002012-08-10T08:00:00+02:00 J'ai souvent parlé des cheveux (et des poils en général) - un grand...
<p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">J'ai souvent parlé des cheveux (et des poils en général) - un grand sujet en Inde!</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Alors voilà, les cliniques de soins pour cheveux pullulent - super idée de business au passage. </span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">J'y regarderai à deux fois avant d'entrer dans celle-là:</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3693322" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/01/1806020421.jpg" alt="Inde,cheveux,perte de cheveux,clinique,poils" /></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">On y rentre avec une tronche et on en ressort avec une autre (et même pas mieux, mais avec des cheveux!)!!</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3693323" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/02/01/3879122859.jpg" alt="Inde,cheveux,perte de cheveux,clinique,poils" /></p>
nonohttp://nono.hautetfort.com/about.htmlPourquoi fermer les maternités publiquestag:nono.hautetfort.com,2011-03-29:31653392011-03-29T00:53:00+02:002011-03-29T00:53:00+02:00 27 Mars 2011 Par anne gervais Inscrit(e) depuis Feb. 2008 "...
<div class="submitted"><strong><span class="date_article"><img id="media-2960913" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" title="" src="http://nono.hautetfort.com/media/01/01/3201068889.4.jpg" alt="hopital, clinique" />27 Mars 2011</span> <span class="auteur_article">Par <span class="auteur_membre"> <a title="<div class=´bulle_utilisateur bulle_membre´><div class=´photo´><img src="http://blogs.mediapart.fr/files/imagecache/photo_utilisateur_petite/" alt="" title="" class="imagecache imagecache-photo_utilisateur_petite" /></div><div class=´infos´><div class=´nom´>anne gervais</div><div class=´inscrit_depuis´>Inscrit(e) depuis Feb. 2008</div></div></div>" href="http://blogs.mediapart.fr/blog/anne-gervais"><span style="color: #000000;">anne gerva</span>is</a> </span></span> </strong></div><div class="dans_les_editions dans_le_contenu"><strong>Edition : <span style="color: #000000;"><a href="http://blogs.mediapart.fr/edition/lhopital-pas-la-charite"><span style="color: #000000;">L'hôpital, pas la charité</span></a> </span></strong></div><p> </p><p><strong>L'exemple de Saint Antoine, par Christian Guy-Coichard. </strong><br /><strong>La maternité de l'hôpital Saint Antoine, à Paris, existe depuis 1896. C'est un « centre universitaire » depuis 1940. Elle devrait comme l'ont fait une centaine d'autres maternités depuis 2008, fermer en 2015 après un transfert progressif de ses activités aux maternités des hôpitaux voisins de Trousseau et Tenon. L'argument habituel des décideurs ,pour les fermetures de maternités, est la sécurité des patientes, mise en jeu dans de petites maternités. Ici, difficile de mettre en avant un tel argument : la maternité réalise 2500 accouchements par an, 20.000 consultations annuelles, 500 hospitalisations en néonatologie. </strong></p><p> </p><p><strong> <img src="http://www.mediapart.fr/files/imagecache/500_pixels/media_28877/saint_antoine.jpg" alt="saint_antoine.jpg" /></strong></p><p><strong>La fermeture de la Maternité va entraîner l'abandon du centre IVG (650 IVG par an) alors même qu'à Tenon , ce n'est qu'après de longs mois de bataille, que la réouverture du centre IVG a été obtenue. La disparition de la maternité de Saint Antoine entraînera celle des urgences gynécoobstétricales (12800 passages par an), de la PMI (2300 nourrissons suivis par an), la disparition d'un centre de formation de sages -femmes (45 par an). Bref autant de missions de service public que les maternités voisines de Tenon et Trousseau (dont le prochain démantèlement a fait couler beaucoup d'encre) n'auront pas vocation à absorber. C'est en réalité l'exigence de suppressions d'emplois dans les Hôpitaux parisiens qui semble être la seule explication logique. La mobilisation des personnels concernés a donc rejoint celle des élus locaux, des partis de gauche, des associations et de la population, entraînant la création d'un Collectif de Sauvegarde de la Maternité.</strong></p><p> </p><p><strong>De telles restructurations ne profitent certainement pas au patient ; mais bien des structures privées sont à l'affût, dans ce secteur géographique, de la manne que dispensent les activités de soins, devenues bien rentables car dépouillées de leurs missions de service public. Si néanmoins l'agence régionale de la santé l'impose, les maternités privées pourront toujours récupérer quelques missions de service public puisque depuis la loi Hopital Patients Santé Territoire de 2009, il est possible pour une structure d'hospitalisation lucrative de prodiguer une des 14 missions de service public, qui recoivent une enveloppe budégtaire spécifique (MIGAC).</strong></p><p><strong><img src="http://www.mediapart.fr/files/imagecache/150_pixels/media_28877/piece.jpg" alt="piece.jpg" /></strong></p><p><strong> On peut imaginer que, parmi les missions de service public, les cliniques privées souhaitent se charger de l'enseignement universitaire et post-universitaire ; du développement professionnel continu, de la formation des sages-femmes et du personnel paramédical, de la recherche, voire même d' actions d'éducation et de prévention, d'actions de santé publique...en revanche on scrute vainement les demandes d'accéder au domaine de la lutte contre l'exclusion sociale, à l'aide médicale urgente, aux soins dispensés aux détenus en milieu pénitentiaire et aux personnes retenues en application du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile...et même ...à la permanence des soins. Sur les 1160 cliniques lucratives, prenant en charge près d'un tiers des grossesses en France (rapport Larcher 2008), ...25 avaient un service de néonatologie, aucune une réanimation pédiatrique, 3 signalaient un service d'urgence...aucune n'avaient une maternité de niveau 3 (accueillant les grossesses à risque les plus élevées)</strong></p><p><strong>Résumons : 1/ les cliniques privées lucratives se chargent de la pathologie courante, mais ne peuvent prendre en charge ni les patients les plus lourds, ni les patients les plus précaires, la loi HPST leur permet de « choisir » des missions de service public spécifiquement financées. Parmi les pathologies courantes...l'une de celles les plus simples à prendre en charge, est, sans doute, celle...qui n'est le plus souvent PAS UNE MALADIE... la grossesse et l'accouchement, fort heureusement n'est, le plus souvent, pas compliqué. </strong></p><p><strong> 2/ les hopitaux publics doivent rester à l'équilibre bugétaire alors même que leurs activités sont structurellement déficitaires (baisse des tarifs, baisse des MIGAC, cf articles précédents de l'édition ); ils doivent donc supprimer des emplois. Vu l'abondant réseau de maternités privées, la tutelle peut choisir de fermer une maternité publique...plus facilement qu'un service de maladies infectieuses (aucune structure lucrative ne possède ce dernier type de service).</strong></p><p><strong><img src="http://www.mediapart.fr/files/imagecache/150_pixels/media_28877/berceau.jpg" alt="berceau.jpg" /></strong></p><p><strong> ...Et voilà comment on peut détourner une « part de marché », de 30% des grossesses prises en charge dans le secteur lucratif, près de 50% pourraient, à terme relever de ce secteur. Les parturiantes du 12<sup>ème</sup> arrondissement devront alors se poser des questions qu'elles ne se posaient pas à Saint Antoine : dans quel hopital (public) le bébé sera-t-il transféré en cas de problème ? Y a-t-il un<em></em>anesthésiste et un pédiatre présents 24 h/24 ? Quels sont les tarifs des prestations (honoraires des médecins, sage femme, anesthésistes) et les frais d'hotellerie : draps pour le bébé, couches...tout cela n'étant qu'un surcout des cliniques lucratives alors que ces frais sont intégrés dans le cout de l'hospitalisation publique. Dans le privé lucratif 85% des médecins ont des dépassements d'honoraires (contre 12% des médecins hospitaliers...86% n'ayant pas d'activité libérale dans le public)...Alors plus que jamais le bébé sera le très CHER enfant tant attendu, mais l'APHP aura pu supprimer des emplois : 4500 doivent disparaître d'ici 2014.</strong></p>
Alexandre Cauchoishttp://jevisauhavre.hautetfort.com/about.htmlUne nouvelle Clinique de l'Estuaire dès août 2010tag:jevisauhavre.hautetfort.com,2010-06-10:27841632010-06-10T11:24:41+02:002010-06-10T11:24:41+02:00 Les cliniques de la Général de Santé se rassemblent. Extrait d'un...
<p><span style="color: #ffff00;">Les cliniques de la Général de Santé se rassemblent.</span></p> <p><em>Extrait d'un article de Marc Migraine, adjoint au maire du Havre.</em></p> <p style="text-align: justify;"><img src="http://www.auhavre.com/images/illus_dossiers/hpe_b.jpg" alt="hpe_b.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Après : a) la clinique des Ormeaux en 2005, b) le transfert des principaux services de l'hôpital Flaubert en 2009, vers l'hôpital Jacques Monod c'est au tour des cliniques de la Générale de Santé de se rassembler. Ainsi en 5 ans le paysage de l'hospitalisation de l'agglomération havraise aura été totalement rénové.</p> <p style="text-align: justify;">Réunissant les cliniques du Petit-Colmoulins et François 1er, l'Hôpital Privé de l'Estuaire sera mis en service progressivement à partir du 2 août. La date d'ouverture complète de l'établissement 34 000 m2, capacité de 356 lits est fixée au 16 août. La Générale de Santé a investi 150 M d'euros dans la construction de l'hôpital et 15 M d'euros de matériel médical.</p> <p><a target="_blank" href="http://www.auhavre.com/blog2/index.php?post%2F2010%2F06%2F09%2FNouvelle-Clinique-de-l-Estuaire-%3B-aout-2010" title="Nouvelle clinique de l'estuaire - blog de marc migraine">Lire la suite sur le blog de Marc Migraine...</a></p>
lafeebleuehttp://recettesetnouvelles.hautetfort.com/about.htmlLes Emailleurstag:recettesetnouvelles.hautetfort.com,2010-05-28:27625072010-05-28T05:00:00+02:002010-05-28T05:00:00+02:00 Mercredi 19 mai 2010, arrivée à la clinique des émailleurs 18H....
<p><a href="http://recettesetnouvelles.hautetfort.com/media/00/00/474274058.JPG" target="_blank"><img id="media-2481061" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://recettesetnouvelles.hautetfort.com/media/00/00/722226772.JPG" alt="SV103243.JPG" name="media-2481061" /></a>Mercredi 19 mai 2010, arrivée à la clinique des émailleurs 18H.</p> <p>Assez rapidement après mon entrée, le chirurgien me rend visite. Il souhaite savoir si j'ai d'autres questions et m'indique je descendrai au bloc le lendemain matin au alentour de 10 heures.</p> <p>Viennent ensuite sage femme et infirmière pour un ballet de soin et de questions. Prise de sang, de la tension, verification de l'épilation.</p> <p>Toute fière de moi, je réponds que tout est bon, je suis allée à l'institut 2 jours avant, donc tout est parfait. Le jeune homme vérifie (en effet une des sage femme est un jeune homme). Dommage ! Cest le maillot intégral que j'aurai dû faire. J'ai donc droit à la tondeuse.</p> <p>Et, bien entendu, ce n'est pas terminé (en général lorsque je suis hospitalisée, j'ai toujours des petits cadeaux surprises : ici superbe bleu au bras gauche et réaction allérgique à un sparadrap et non coopération de mes veines pour les prises de sang).</p> <p>Le personnel est charmand, souriant. L'infirmière essai d'abord avec le bras droit. Elle pique, rien, la veine a dû roulé; Elle cherche mais rien à faire. Elle s'excuse. Elle arrive à la fin de son service (19 heures), elle pique depuis 13 heures. Bien, ce n'est pas grave lui dis-je bravement. (Je déteste les prises de sang.) Bras gauche, re belotte, elle touche, tâte, palpe cherche et se lance, ouf c'est bon.</p> <p><a href="http://recettesetnouvelles.hautetfort.com/media/02/01/1063607886.JPG" target="_blank"><img id="media-2481113" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://recettesetnouvelles.hautetfort.com/media/02/01/1557954373.JPG" alt="SV103248.JPG" name="media-2481113" /></a></p> <p> Diner léger : potage, filet de lieu coulis de poivron, haricots beurre, petit suisse, compote de pommes et pain.</p> <p>Douche à la bétadine et coucher.</p>
lafeebleuehttp://recettesetnouvelles.hautetfort.com/about.htmlhospitalisationtag:recettesetnouvelles.hautetfort.com,2010-05-19:27512462010-05-19T08:00:00+02:002010-05-19T08:00:00+02:00 Un réveil difficile et peu enthousiate ce matin. En effet, à 18 heures,...
<p><a href="http://recettesetnouvelles.hautetfort.com/media/02/01/1946861409.jpg" target="_blank"><img id="media-2466397" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://recettesetnouvelles.hautetfort.com/media/02/01/880394554.jpg" alt="Screenshot-5.jpg" name="media-2466397" /></a>Un réveil difficile et peu enthousiate ce matin. En effet, à 18 heures, je me verrais offrir une chambre à la clinique pour au moins 4 jours.</p> <p>Demain matin, le chirurgien va m'ouvrir le ventre. Pour l'instant je ne m'attarderai pas sur les détails.</p> <p>C'est pour cette raison, que le blog n'aura pas d'activité pendant quelques temps.</p> <p>A très bientôt.</p>
Nicolas Baluhttp://facesdeblog.hautetfort.com/about.htmlMino (I)tag:facesdeblog.hautetfort.com,2009-06-24:22583392009-06-24T23:13:00+02:002009-06-24T23:13:00+02:00 Nous sommes nombreux à aimer Mino. Mino est morte vendredi. Mino est...
<p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"><b>Nous sommes nombreux à aimer Mino. Mino est morte vendredi. Mino est poète. Mino Hervelin-Michaut est l'auteur de plusieurs livres.</b> <i>Les Comètes</i><b>,</b> <i>Côté Jardin</i><b>,</b> <i>Mon Amour Quotidien</i><b>"</b> <b>(prix E.Carrière de l'académie Française ),</b> <i>Être Marthe et Marie</i> <b>et</b> <i>Ma main dans Ta main.</i> <b>Voici, étalés sur quelques jours, quelques-uns de ses poèmes.</b></span></p> <p style="text-align: left;"> </p> <p style="text-align: left;"><b><span style="font-size: medium;">Clinique</span></b></p> <p>A plat dos sur mon lit, je plane sans moteur</p> <p>Dans le silence fragile</p> <p>ouvert d'un côté sur le monde de la clinique en ébullition...</p> <p>Que ce soient les chasse-d'eau répétées,</p> <p>la vaisselle qu'on semble jeter dans des containers en métal,</p> <p>que ce soient les chariots roulants brinquebalant</p> <p>leurs bouteilles qui s'entrechoquent</p> <p>que ce soient les ascenseurs qui grimpent et dégrimpent sans cesse</p> <p>que ce soient les infirmières et les servantes qui s'interpellent</p> <p>en se lançant des numéros à la cantonnade,</p> <p>tiercé humain où beaucoup n'arrivent pas gagnants...</p> <p>C'est la vie, survoltée et indifférente...</p> <p> </p> <p>A plat dos sur mon lit, je plane sans moteur</p> <p>dans le silence fragile...</p> <p>Tous mes gestes à moi résonnent la douleur...</p> <p>C'est la vie, réveillée, consciente...</p> <p> </p> <p>Par la fenêtre ouverte</p> <p>le jardin, les oiseaux et les cris des bébés naissant</p> <p>Qui font lever leur vie comme des petits coqs font lever le soleil,</p> <p>C'est aussi la vie, imperturbablement fidèle,</p> <p>qui continue depuis la Création du monde...</p> <p> </p> <p>La carlingue pleine de souffrance</p> <p>je plane à plat dos sur mon lit</p> <p>Toute prière et toute offrande.</p> <p> </p> <p>21 juin 1983</p>