Last posts on caplan2024-03-28T23:34:45+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/caplan/atom.xmlPhilippe Landeuxhttp://philippelandeux.hautetfort.com/about.htmlL'IMPORTANCE DES PRENOMStag:philippelandeux.hautetfort.com,2011-06-12:29955582011-06-12T03:40:21+02:002011-06-12T03:40:21+02:00 LA DISCRIMINATION AU BERCEAU On entend souvent des phrases du genre :...
<p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: medium;">LA DISCRIMINATION AU BERCEAU</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: medium;">On entend souvent des phrases du genre : « <em>En France, quand on s’appelle Mohamed et qu’on postule pour un emploi, on n’a aucune chance. </em>» Autrement dit, les entreprises françaises, donc les Français, sont racistes. Mais pourquoi les intéressés et les chantres de l’antiracisme ne s’étonnent-ils jamais que des Français ou des personnes censées l’être portent des prénoms étrangers ? Pourquoi exige-t-on toujours des Français qu’ils soient ouverts à toutes les cultures du monde, sans jamais exiger des étrangers fixés en France et de leurs descendants qu’ils adoptent dans certains domaines les coutumes françaises ? Pourquoi les Français devraient-ils toujours céder devant ceux qui, venus chez eux, ne veulent rien concéder ou si peu ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Quoi qu’il en soit, qu’on le veuille ou non, c’est un fait, il est des prénoms qui, en France, passent mal. Pourtant, aussi évidente que soit la solution à ce problème, nos législateurs préfèrent adopter des batteries de mauvaises mesures qui n’ont aucun effet, si ce n’est l’effet inverse, puisque toutes supposent les Français racistes ou idiots ou lâches, ce qui ne peut que les exaspérer. Les incantations des <em>potes </em>n’ayant rien donné, on est passé au C.-V. anonyme, à la <em>discrimination positive</em>, à l’apologie de l’immigration et du métissage. Il est maintenant question d’accroître la présence de prénoms étrangers dans les manuels scolaires, afin que les enfants finissent par ne plus voir aucune différence entre <em>Maximilien </em>et <em>Mohamed</em>, entre <em>Juliette </em>et <em>Yasmina</em>, entre la culture française et les autres. Mais les choses sont ce qu’elles sont. Des traditions et coutumes qui, jusqu’à ce qu’il y ait des immigrés en France, n’existaient qu’à l’étranger et ne concernent bien souvent que les immigrés ou leurs descendants ne peuvent être honnêtement considérées autrement que comme étrangères. Car nous parlons ici des prénoms, mais il en est de même pour les vêtements, la cuisine, les langues, les religions, etc.. Qui osera prétendre, par exemple, qu’un couscous, une pizza, des nouilles chinoises, des hamburgers, etc., sont des plats de tradition française, sous prétexte que les Français en mangent ? Tout ce qui existe en France n’est pas forcément français. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Maintenant, en admettant que les Français ne distinguent plus les prénoms français des prénoms étrangers, en sera-t-il autant pour ceux qui portent ces derniers ? Evidemment non ! Ces prénoms étrangers, donnés par des parents irresponsables, généralement d’origines étrangères, sont faits pour rappeler aux enfants leurs origines. Or, quand on sait que le nom est la première chose par laquelle une communauté (sociale, religieuse, ludique, etc.) reconnaît ses membres, que donner un nom conforme à ses traditions est la première chose que fait une communauté qui veut intégrer un étranger, on comprend tout ce que symbolise un prénom, tant pour celui qui le donne que pour celui qui le porte et celui qui l’entend. Donner à un enfant un prénom étranger, un prénom évoquant une autre culture que celle du pays dans lequel il est destiné à vivre, c’est souvent faire de lui un schizophrène, c’est brouiller à jamais les repères dont il a tant besoin. Ses pieds sont dans un pays ; sa tête est dans un autre. Comment se tenir droit dans ces conditions ? Certains arrivent tant bien que mal à surmonter ce handicap, mais ils n’en sont pas moins perçus comme des étrangers par les Français, du moins ces derniers ne voient-ils pas en eux des Français à part entière. Force est d’ailleurs de constater que, dans les questions touchant aux étrangers, ils raisonnent rarement comme eux. Ils mettent alors en avant leur ouverture d’esprit, insinuant que les autres sont moins ouverts qu’eux, pour ne pas dire plus, alors qu’il s’agit pour eux de ménager leur ego et de justifier sans l’évoquer leur propre conservatisme, un conservatisme qui est une trahison (réelle ou perçue comme telle) envers la France.</span><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un mot sur le rejet que suscite chez les Français les prénoms étrangers. Il est évidemment commode de mettre cette attitude sur le compte du racisme. Mais, si l’on considère ce qui est écrit plus haut, il apparaît que ce rejet n’est qu’une réaction au rejet réel ou supposé de la France par les personnes affublées d’un prénom étranger. Elles n’ont pas choisi leur prénom, la faute en revient à leurs parents (dont il n’est pas même utile d’évoquer l’état d’esprit), mais chacun sait ou devine inconsciemment l’influence inévitable qu’il a eu sur leur mentalité. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Il résulte de tout ceci qu’il n’y a qu’une seule mesure à prendre d’urgence, c’est de réactualiser la tradition érigée en loi en 1965 et 1972 qui, jusqu’à l’instruction de 1981 convertie en loi en 1993, obligeait les parents à choisir le prénom de leur enfant dans le calendrier français. (En 1981, les préfets reçurent l’instruction de ne pas interdire aux parents de donner à leurs enfants des prénoms autres que français.) Du moins la loi devrait-elle interdire de leur donner des prénoms autres que français ou francisés. Cette mesure est simple, empreinte de bon sens, facile à mettre en œuvre, elle ne coûte rien et elle épargnerait bien des souffrances, bien des drames, bien des gesticulations stériles, bien des discours ahurissants. Comment, diantre ! se fait-il que ce soit depuis que la France connaît une vague d’immigration sans précédent, extra-européenne, donc au moment où cette loi serait le plus utile, que personne ne la rappelle ? Du reste, d’autres mesures du même ordre devraient également être envisagées, comme faciliter les changements de noms, mais adopter celle-ci serait déjà un grand pas en avant vers la résolution des problèmes d’intégration et de discrimination insolubles dans les conditions actuelles. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">On comprend qu’il soit difficile pour les intéressés d’accepter cette mesure complémentaire, bien qu’il ne s’agirait pas d’une obligation mais d’une invitation. Il est naturel que les individus soient attachés à leur prénom originel. C’est précisément pourquoi la loi, pour éviter ce dilemme, doit obliger les parents vivants en France à donner d’emblée des prénoms français à leurs enfants (ce qu’ont fait spontanément les immigrés d’origine européenne et asiatique). Ceux qui argumentent aujourd’hui pour justifier leur attachement à un prénom étranger, malgré tous les désagréments qu’il leur suscite, auraient sans doute plus d’arguments encore en faveur d’un prénom français qu’ils porteraient depuis leur naissance, puisque, quoi qu’on en dise, il est infiniment plus logique de porter un prénom français en France que tout autre. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Fidèles à leur réputation, les antiracistes patentés crieront au racisme devant l’« audace » de ce discours et l’inattendu de ces mesures. Qu’ils crient ! Pareils à des malades qui refusent les piqûres et conspuent les médecins qui ne peuvent dès lors soulager leurs maux, ils sont les principaux artisans de l’exaspération des Français et de la discrimination dont leurs clients sont victimes, puisqu’au lieu de les encourager à s’assimiler, à prendre fait et cause pour leur nouvelle patrie, ne leur en déplaise, ils les encouragent par action ou omission à perpétuer leurs différences, à se gargariser de leurs origines et à s’afficher comme étrangers. Leur échec est notoire mais, forts de leur bonne conscience, ils ne se sentent jamais responsables de rien et rejettent toujours leurs erreurs sur les autres. Ils s’abreuvent d’illusions et d’absurdités, à l’exemple d’Hamel Hamza, conseiller municipal UMP à la Courneuve qui déclare : « <em>Oui, on peut réussir en s’appelant Barack, Mamadou ou Mohamed.</em> ». (<em>Marianne</em>, N° 603, p. 44) Comme si la victoire du métis Barack Obama aux élections présidentielles américaines allait changer quelque chose en France pour les immigrés et leurs descendants arc-boutés sur leurs traditions d’origines, et pour les Français vis-à-vis d’eux, comme si la réussite exceptionnelle de quelques-uns, malgré le même handicap, justifiait que tout le monde reste handicapé. Un tel discours, de tels sous-entendus sont insupportables quand on songe à la gravité de leurs conséquences ! Il est temps que le politiquement correct cède le pas au courage et à la vérité, et que les Français, quelles que soient leurs origines, ne soient plus dupes des prétendus amis des immigrés qui, avec leurs bonnes intentions et leurs mauvaises idées, font autant le malheur des individus que celui des nations.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Reste à savoir si de telles mesures sont envisageables et applicables. Il n’y a aucune raison objective pour que la France ne puisse pas les adopter si elle le veut. Elles sont à la fois dans son intérêt et dans celui des immigrés et de leurs descendants. La seule difficulté pourrait résider — et réside jusqu’à présent — dans la crainte des législateurs d’être taxés de racistes, de fascistes, par les gauchistes qui ne risquent rien et les intéressés qui ne comprennent pas qu’ils ont tout à gagner (et éventuellement par des gouvernements ou des peuples étrangers qui n’ont pas leur mot en dire en la matière). Ainsi, au lieu de braver la démagogie des premiers et de passer outre la susceptibilité mal placée des seconds, les législateurs pourraient préférer offenser les Français silencieux qui n’en pensent pas moins. Mais baisser son pantalon n’a jamais suscité le respect de personne. En l’occurrence, une telle attitude, pour ne pas dire un tel crime, en regard des enjeux, une telle lâcheté devant des écervelés et des enfants perdus, un tel mépris pour les Français, ne seraient pas faits pour sortir la France de la situation dramatique (sur le plan moral) et explosive (sur le plan social) dans laquelle elle se trouve. Enfin, si l’on renonce à ces mesures directes, il faut aussi renoncer à lutter contre la discrimination et ne plus s’en plaindre ni la déplorer, car aucune mesure timorée n’en viendra à bout, si ce n’est en rêve.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p style="text-align: right;"><strong><span style="font-size: medium;">Philippe Landeux</span></strong></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: small;">24 novembre 2008</span></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: small;">Envoyé en vain à Marianne en 2008, publié par <a title="L'importance des prénoms" href="http://www.ripostelaique.com/Hymne-aux-prenoms-francais.html" target="_blank">Riposte Laïque</a> en janvier 2010</span></p><p style="text-align: right;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: medium;">Une lectrice de Riposte Laïque réagit à cet article, ce qui m'amena à lui faire la réponse suivante :</span><br /></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: medium;">REPONSE A CAROLINE CAPLAN</span></strong></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">J’ai découvert par hasard votre courrier dans lequel vous <a title="Réponse à Caroline Caplan" href="http://www.ripostelaique.com/Reponse-a-Caroline-Caplan-qui-a.html" target="_blank">réagissez contre mon article</a> sur la nécessité de donner aux enfants nés en France des prénoms français ou francisés, qu’ils soient d’ailleurs nés de parents français ou étrangers. Conscient de l’inutilité de vous répondre, je n’ai pas résisté au plaisir de le faire.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Il semblerait que le bon sens de cette pratique et son intérêt pour les immigrés vous échappe. Mieux ! elle est, selon vous, l’expression d’une pensée colonialiste — « <em>vos propos me semblent se rapprocher de théories évolutionnistes qui remontent au temps de la colonisation lorsque l’homme blanc se considérait supérieur </em>» —, nazie — « L’erreur allemande n’a elle pas été suffisante ? » —, raciste — « Je refuse de considérer d’autres être humains inférieurs » —, ils vous font mal, ils sont une honte pour la France, ils détruisent « l’unité nationale ». Vous qui prétendez m’asséner des évidences ne faites que débiter un condensé de tous les poncifs de la bien-pensance, de la naïveté, de l’universalisme benêt, bref de la démagogie, le tout appuyé sur des contradictions flagrantes, des affirmations fausses, des déformations scandaleuses et des imputations calomnieuses. Vous substituez l’insulte en finesse, la sensiblerie bon marché, l’individualisme aveugle, et le dogmatisme à la raison, au pragmatisme, au réalisme, à l’intérêt national et même à l’intérêt des immigrés.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Vous avouez avoir lu mon article lorsqu’un de vos amis maghrébins a adopté un prénom français, corrigeant ainsi de lui-même, dans son intérêt, le mauvais choix que la loi n’aurait pas du permettre à ses parents de faire. Mais vous, Caroline, vous qui n’êtes en rien concernée par sa décision, qui ne vivez pas sa vie à sa place, qui ne risquez pas de subir de désagréments en raison de votre prénom, vous ne l’approuvez pas ! De quel droit ? Il confirme par son acte tout ce que je dis, mais vous soutenez encore le contraire. Au nom de quoi ? </span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Je vous rappellerai que prôner que les parents donnent à leurs enfants des prénoms français a deux buts : 1) préserver l’identité nationale, puisque l’identité d’une nation et de toute communauté de vie commence avec des individus dont le nom les identifient à elle, 2) assurer l’assimilation des immigrés et leur acceptation par les Français. Autrement dit, il s’agit de faire de la nation et de ses membres, quelle que soit leur origine, une famille unie par une identité d’abord, par des valeurs ensuite (sans l’identité les valeurs ne sont pas un ciment suffisant), ce qui est le contraire du communautarisme (source de guerre civile), bien que celui-ci applique la même recette à son niveau. Il faut être particulièrement de mauvaise foi pour prétendre que ce discours, qui vise à intégrer réellement les immigrés, est dirigé contre eux, que son auteur est raciste et ennemi de l’unité nationale. C’est celui d’un homme et d’un pays qui se respectent. Inversement, le vôtre, qui a pour lui l’apparence des bons sentiments et des bonnes intentions, ne tend qu’à abandonner les immigrés à eux-mêmes, à les laisser se fourvoyer dans leurs erreurs, à s’auto-stigmatiser, à les couper ou plutôt à les maintenir hors de la communauté nationale, à les pousser au communautarisme, bref à diviser la nation. C’est celui en vigueur depuis trente ans ; c’est celui des apatrides, des individualistes, des défaitistes, des capitalistes, des européistes, des mondialistes, des pseudo-démocrates, des pseudo-antiracistes (vrais racistes) et des inconscients. De Munich à Montoire !</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Ceci étant, je vais reprendre chacun de vos propos, car on peut faire dire n’importe quoi à quelqu’un que l’on ne cite pas avec exactitude.</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: medium;">Mes arguments présument « <em>un certain déterminisme par le nom, comme si porter un nom de famille déterminait les agissements individuels </em>». Je ne présume pas, j’affirme ! Il est évident qu’un nom ou un prénom tiré d’une tradition fait entrer dans une communauté ou donne l’illusion que l’intéressé appartient à cette communauté. Ce n’est pas pour rien que certains immigrés continuent à donner à leurs enfants des prénoms conformes à la tradition de leur pays d’origine (esprit communautaire) et que ces prénoms ajoutés à leur physique exotique font qu’ils n’apparaissent pas de prime abord comme des Français. Dans vos propos, vous oubliez toujours qu’un prénom est un signe d’appartenance qui, non seulement, marque celui qui le porte mais encore indique aux autres cette appartenance. Vous ne voyez toujours les problèmes que d’un côté, celui de l’individu, jamais de celui de ceux qui l’entourent et qui sont tout autant concernés. Vous pouvez nier que les prénoms étrangers donnés à des enfants issus de l’immigration insufflent à beaucoup d’entre eux un esprit communautaire qui les portent à certains actes (l’esprit commande aux actes, non ?), mais comment pourrez-vous nier, quand les intéressés le reconnaissent eux-mêmes et s’en plaignent, que ces prénoms fassent également réagir les Français qui ne voient pas en leurs porteurs leurs compatriotes ?</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">« <em>Donner un prénom étranger serait un moyen de perpétuer la différence </em>».Lorsque les immigrés donnent à leurs enfants des prénoms « du pays » qu’ils ont quitté, faisant comme s’ils y étaient toujours, qu’est-ce d’autre ? Ce réflexe est naturel, cette démarche est peut-être inconsciente, mais cela a bel et bien pour résultat de perpétuer une différence supplémentaire par rapport aux autochtones. Si les immigrés ne le faisaient pas, s’ils donnaient à leurs enfants des prénoms français ou francisés, les Français auraient tous des prénoms français, nombre de prénoms n’existeraient pas en France et la différence — et les difficultés qui vont avec — n’aurait pas été introduite. Vous pouvez chanter les louanges de la différence au mépris des réalités, vivre dans l’abstraction, mais les faits sont là. </span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Vous n’êtes pourtant pas loin de le reconnaître puisque vous dites : « <em>Bien sûr on peut considérer que le prénom est une marque d’identité culturelle lorsque des parents issus de l’immigration nomment leur enfant. </em>» Mais vous le nier malgré tout sous prétexte qu’ « a<em>ujourd’hui les petits Téo, Enzo, Alex sont français et pourtant leur prénoms ne figure pas plus dans le calendrier que mohammed ou melika. </em>» Ce n’est parce que des Français donnent à leurs enfants des prénoms étrangers (occidentaux) que leur démarche est la même que celle d’immigrés donnant aux leurs des prénoms tirés de la tradition de leur pays d’origine. Pour ma part, je ne fais pas de discrimination, je condamne les deux, car, bien qu’elles n’aient ni les mêmes mobiles ni les mêmes effets, elles ont en commun de saper la culture et l’identité française. Force est d’admettre que l’anglomanie, l’italomania, l’arab