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Notes sur le tag : andré frénaud

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André Frénaud, Il n'y a pas de paradis

De toi, de moi, d’où sortait la lumière ?   Dans la grande bienveillance de l’âtre profond où je me flattais de brûler pour me découvrir comme un rayon de flammes et m’éclairer à ma lumière, quand celle-ci était l’amour qui sortait de moi parce qu’il était destiné à qui j’étais voué. Et je multipliais les feux, j’embrasais l’alentour. Je croyais en un...

Publié le 20/11/2022 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, Les Rois mages

                 La création de soi   Mes bêtes de la nuit qui venaient boire à la surface, j’en ai harponné qui fuyaient, je les ai conduites à  la maison. Vous êtes ma chair et mon sang. Je vous appelle par votre nom, le mien. Je mange le miel qui fut venin. J’en ferai commerce et discours, si je veux. Et...

Publié le 05/03/2020 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, Hæres

Le grand masque   Le grand masque, il cache l’escalier sans retour, aboi des chiens d’enfer, le miroir toujours vide — le roi des masques, celui qui rit à gorge déployée au plus fort de la fête.   André Frénaud, Hæres , Gallimard, 1982, p. 232.

Publié le 06/10/2019 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, HÆRES

                                Les expressions de la physionomie   Celui qui sans raison prétend au sacrifice, celui dont les dons ne valent plus, celui qui s’entête, celui qui écourte, celui qui fait la roue — qui fait semblant — celui qui s’est détourné, qui est là encore quand il...

Publié le 02/05/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, Les Rois mages

                             Sans amour   Il va sous les végétations de la lumière, le cœur sans amour. Le monde se creuse comme la mer. Le sourire éclatant du désespoir tiendra-t-il jusqu’à la mort prochaine ?   André Frénaud, Les Rois mages , Poésie/Gallimard, 1987, p. 82.

Publié le 03/09/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, La Sainte Face

                                                                      La femme de ma vie   Mon épouse, ma loyale étoffe, ma salamandre, mon doux pépin, mon hermine, mon gros gras jardin, mes fesses,...

Publié le 24/04/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, Il n'y a pas de paradis

           Sans amour   L’amour n’a pas peur de moi Je lui donne ses régals, de ma vie tout ce qu’il veut. Je lui fais seule demande : qu’il ait pitié, qu’il ne m’oublie.   André Frénaud, Il n’y a pas de paradis , Poésie / Galliamrd, 1962, p. 171.

Publié le 18/03/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, Nul ne s’égare, précédé de Hæres

                    Petite révolutionnaire   Les yeux ardents provoquant le soleil qu’elle aimerait mieux caresser, et la faille mince marquée sous les embarras du mépris pour l’homme qui n’est pas grand :           ...

Publié le 01/01/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, Hæres — et : La fin de La Quinzaine littéraire ?

  Trouvé dans l’héritage   Initiales entrelacées devenues anonymes sur les draps du lit d’un défunt amour   Lieu commun   Le champ-les-vaches, la vie-la-mort... À la gaieté !   André Frénaud, Hæres , Gallimard, 1982, p. 153, 168.   Communiqué La fin de la Quinzaine littéraire ? Le jeudi 1 er...

Publié le 06/10/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

André Frénaud, Hæres,

               Sur la route   Douce détresse de l’automne, des abois très lointains, une échauffourée de nuages, comme un remuement de souvenirs qui se cachent. Et la lisière des peupliers pour donner figure à la lumière qui va venir.   André Frénaud, Hæres , Gallimard, 1982, p. 91.

Publié le 03/10/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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